Vincent Liégey

OA - Liste

2023

Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele a réagi après l'adoption de l'accord final de la Cop 28.
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, candidat malheureux à la présidence du Giec, a écrit une lettre ouverte "au nom du climat" adressée au président de la COP28, la conférence climat de l'Onu qui se déroule jusqu'au 12 décembre à Dubaï (Émirats arabes unis).
Le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, candidat malheureux à la présidence du Giec, a écrit une lettre ouverte "au nom du climat" adressée au président de la COP28, la conférence climat de l’Onu qui se déroule jusqu’au 12 décembre à Dubaï (Émirats arabes unis). Dans cette missive, cosignée par le climatologue américain Michael E. Mann, directeur du "Earth System Science Center" à l’université d’État de Pennsylvanie, M. van Ypersele entend rappeler "quelques données scientifiques essentielles" à Sultan Al Jaber, le président controversé de la COP28, également à la tête de la compagnie pétrolière émiratie Adnoc.
Le climatologue Jean-Pascal van Ypersele, membre du Giec, était l’invité du “Café sans Filtre” ce matin sur LN24 pour aborder la Cop 28 qui s’ouvre à Dubaï ce 30 novembre.
La Belgique n'a pas pu remettre de plan climat à l'Europe dans les délais impartis, a déploré vendredi dans un...
Cet été a été marqué par les catastrophes naturelles. Les incendies, les inondations et les vagues de chaleur se sont multipliés. Pour évoquer ces dérèglements climatiques, Jean-Pascal van Ypersele était l’invité du RTL info Signatures ce mercredi soir. Le spécialiste belge du réchauffement climatique a répondu aux questions de Luc Gilson et Christophe Deborsu. Au niveau mondial, le mois de juillet a été le plus chaud jamais enregistré, depuis que l’on mesure la température. En Belgique, ce fut supportable. Mais faut-il dès lors s’inquiéter pour l’année prochaine ? Il risque de faire assez chaud ?
Ce mercredi, l’élection à la Présidence du GIEC (Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) aura lieu à Nairobi, au Kenya. 195 délégations éliront le scientifique qui présidera les travaux du GIEC pour les années qui viennent.
Alors qu’une vague de chaleur s’installe dans le sud de l’Europe, les phénomènes climatiques extrêmes semblent s’aggraver. S’il y a une petite accélération, tout cela figurait dans les rapports du Giec, dit le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele qui en brigue la présidence.
L'élection du Bureau du GIEC en vue du 7e cycle de rédactions de rapport a lieu fin juillet 2023. Le bureau comporte 34 membres. Il est responsable de gérer le processus de rédaction de rapports et de conseiller l’assemblée des États membres dans la prise de décision, tout en supervisant la qualité des travaux scientifiques et de la communication. Jean-Pascal van Ypersele est candidat à la Présidence, avec le soutien de la Belgique. Nous lui avons demandé d’exposer ses motivations et sa vision pour le GIEC. L'interview a été réalisée par Alain Tondeur (Plateforme wallone pour le GIEC) et Soumaya Majdoub (Centre climat belge, membre de l’équipe de campagne de Jean-Pascal van Ypersele).
ENGAGÉ A DÉFENDRE Le GIEC, la voix mondiale du climat Le meilleur lien entre la science et les décideurs politiques du monde entier Un GIEC plus inclusif, plus dynamique et plus pertinent
Jean-Pascal van Ypersele est candidat à la présidence du Giec. Le climatologue belge souhaite y inclure plus de chercheurs issus des pays en voie de développement, pour rendre la voix du climat « plus forte ».
La candidature du climatologue et professeur à l’UCLouvain n’attendait plus qu’à être formellement appuyée par le gouvernement fédéral. C’est chose faite depuis ce week-end : Jean-Pascal van Ypersele rejoint officiellement la course à la future présidence du GIEC. Une candidature tournée vers l’inclusivité et la collaboration internationales.
Il l'a fait savoir via Linkedin
Jean-Pascal Van Ypersele - Climatologue belge, candidat à la présidence du GIEC est l'invité d'Internationales cette semaine. Une émission de TV5MONDE en par...
Aujourd’hui je vais te parler de la synthèse du rapport du GIEC de 2023 avec Valérie Masson-Delmotte présidente du rapport 1 du GIEC et Jean-Pascal van Ypersele, physicien et climatologue ancien Vice-président du GIEC.
Toutes les réactions suite au nouveau rapport dévoilé par le Giec.

2022

2022, l’année du climat déboussolé. L’année d’une énième COP, la 27e Conférence des Parties des Nations unies...
Après plusieurs décennies d’étude du climat et de participation au Giec, Jean-Pascal van Ypersele, malgré “ la très grande inertie ” qu’il observe chez les décideurs dans la lutte contre le changement climatique, se dit “ très frustré, pas désespéré ”. “ On n’avance plus si on est désespéré ! Or ce qu’il faut justement faire par rapport à ce problème du climat, c’est avancer plus vite !”
Ce dimanche s’ouvre la COP27, le plus grand rassemblement annuel sur l’action climatique. Cette année, la grande messe du climat a lieu à Charm el Cheikh, en Egypte. Alors qu’il y a urgence, quels sont les enjeux de cette COP ? Qu’en attendre concrètement ? Quel sera le poids de la Belgique ? Réponse avec Jean-Pascal Van Ypersele, professeur à l’UCLouvain et peut-être futur président du GIEC.
Le conseil des ministres a décidé vendredi de soutenir la candidature du climatologue belge Jean-Pascal Van Ypersele à la présidence du Giec, le groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat créé en 1988 sur l'impulsion des Nations unies.
Avec une moyenne de 27 degrés, le mois d’août a été le plus chaud jamais enregistré à Uccle depuis le début des observations en 1892. Un été particulièrement sec qui fait suite à un été 2021 où précipitations ont été exceptionnelles. Alors, que nous disent ces situations extrêmes ? Que faire face à cette crise climatique et énergétique ? Sur le plateau de QR l’actu, le climatologue Jean-Pascal Van Ypersele commente ces phénomènes extrêmes.
Le climatologue Jean-Pascal Van Ypersele n'a cessé de mettre en garde ces dernières années contre le réchauffement climatique. L'ancien vice-président du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) était l'invité du RTL INFO 19 heures. L'occasion de réagir sur les images qui du monde entier traversé par une des vagues de chaleur successives : "C'est une certaine lassitude d'une part et une grande frustration de voir que les alertes lancées depuis des dizaines d'années ont été ignorées. On commence à les prendre en compte, on commence à avoir des plans pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et s'adapter d'autre part, mais dans les deux cas, c'est beaucoup trop peu." Pour Jean-Pascal Van Ypersele, "tout le monde devrait être conscient" que nous sommes à un tournant. "Il est grand temps de prendre les décisions qu'il faudrait pour maintenir l'habitabilité de la seule planète habitable du système solaire."
Le climatologue et membre du GIEC Jean-Pascal van Ypersele est sans appel: sans réaction, on se dirige tout droit vers le scénario du pire.
Jean-Pascal van Ypersele, professeur à l'UCLouvain et ancien vice-président du Giec, insiste sur l'importance pour les entreprises de lutter contre le dérèglement climatique. Innovation et sobriété vont de pair. Le combat n'est pas perdu mais il est déjà très tard.
Le troisième volet du dernier rapport du GIEC sur le climat a été dévoilé lundi. Interrogé sur La Première, le climatologue Jean-Pascal van Ypersele pointe l’importance des changements de comportements que les citoyens peuvent décider d’adopter, surtout si ces changements sont accompagnés par les politiques, qui doivent mettre à la disposition des citoyens les moyens de le faire.
Plateforme wallonne pour le GIEC - Lettre n°24 - Édition spéciale - Février 2022 - Aperçu du Résumé pour les décideurs
T’as la flemme de lire le rapport du GIEC ? (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat) Installe toi confortablement et on t’explique. Le rapport du groupe 2 vient de sortir. Le GIEC est séparé en 3 groupes de travail et ce groupe travaille sur les questions des conséquences, l'adaptation et la vulnérabilité.

2021

La COP26 a accouché d’un ensemble de décisions qui vont aider à la mise en œuvre de l’Accord de Paris. C’est un pas dans la bonne direction, c’est bien plus que du bla-bla, mais c’est très insuffisant. Parmi les points positifs, je vois : ...
"L'ensemble des textes adoptés à Glasgow ne diminue pas immédiatement les émissions de gaz à effet de serre, mais crée un cadre et des signaux de plus en plus clairs vers la décarbonation pour tous les gouvernements, tous les acteurs économiques et tous les citoyens. Maintenant, au boulot", conclut le climatologue.
Les décisions adoptées à la COP26, à Glasgow, vont aider à la mise en oeuvre de l'accord de Paris sur le climat, a souligné dimanche le climatologue Jean-Pascal van Ypersele (UCLouvain), estimant qu'il s'agit d'un "pas dans la bonne direction". "C'est bien plus que du bla-bla, mais c'est très insuffisant", résume-t-il.
Avez-vous bien lu nos mises en garde ? C’est la question que posent en substance plus de 200 climatologues, dont le Belge Jean-Pascal van Ypersele, qui appellent la COP26 à agir immédiatement et massivement contre le réchauffement.
"Décarboner va coûter cher, mais payer en vie humaine les dégâts du changement climatique coûtera beaucoup plus cher. La gravité des impacts augmente plus vite que la température" - 26'
Il l’a dans les mains. Blasé, Jean-Pascal Van Ypersele est venu avec le tout premier rapport du Giec (le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) sur le plateau de l’édition spéciale de notre JT ce midi. "Il a été publié en 1990", précise le professeur de climatologie à l’Uclouvain. Il, e lit qu’une seule phrase du rapport. "L’effet de serre accentuera les deux extrêmes du cycle hydrologique, c’est-à-dire qu’il y aura plus d’épisodes de pluies extrêmement abondantes et plus de sécheresses prononcées."
Alors que le prochain rapport du Giec sur le climat estime qu'un dépassement de plus de 1,5 degré pourrait entraîner "progressivement des conséquences graves pendant des siècles" sur Terre, le climatologue Jean-Pascal van Ypersele (UCLouvain) estime, lui, "qu’il serait encore possible de l’éviter par des transformations structurelles radicales et une redéfinition de nos modes de vie et de consommation."

2020

2019

Prolonger les centrales nucléaires? Le serpent de mer divise la Belgique entière depuis la loi de sortie, qui prévoit leur fermeture entre 2022 et 2025. Alors quand un climatologue de renom, Jean-Pascal van Ypersele, opposé de longue date à l’énergie atomique, se prononce en faveur d’une prolongation de centrales au-delà de la date butoir, les partisans de l’atome prennent la balle au bond. À l’image du Forum nucléaire: "L’ancien vice-président du Giec plaide pour la prolongation de quelques centrales nucléaires", a tweeté le lobby du secteur, renvoyant vers les propos que le climatologue de l’UCLouvain a tenus dans le journal De Zondag.
Dans son nouveau rapport publié mercredi, le GIEC tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme. La planète est surexploitée et si l’homme ne modifie pas radicalement sestechniques agricoles et ses habitudes alimentaires, le réchauffement climatique va s’accentuer et la sécurité alimentaire sera menacée. Jean-Pascal van Ypersele, présent au sommet du GIEC en Suisse."On ne peut pas sauver le climat sans s’occuper de la manière dont l’agriculture et la gestiondes forets et des sols se passe
La prise de conscience est là: les agriculteurs se rendent de plus en plus compte de lagravité des événements extrêmes et des effets du changement climatique sur la viequotidienne, la santé, l'agriculture... Cette dernière fait à la fois partie des problèmes et dessolutions. Il faut se mettre autour de la table pour voir comment l'agriculture pourraitcontribuer à cette lutte contre le réchauffement en respectant les objectifs de développementdurable

2018

Le rapport du Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) détaille aussi les différences, en termes d'évènements météorologiques extrêmes, de montée des eaux, de dégradation de la biodiversité ou de baisse des rendements des céréales, entre un réchauffement d'1,5°C et une hausse des températures de 2°C
Jean-Pascal van Ypersele, ancien vice-président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), dresse un inventaire du travail accompli depuis trois décennies par l’institution onusienne et propose quelques réformes indispensables. Un article de notre partenaire, le JDLE.
La participation des scientifiques wallons aux activités du GIEC (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat) et la diffusion des évaluations réalisées par celui-ci auprès des différents décideurs et acteurs, citoyens compris, sont des éléments clefs pour faciliter la compréhension des enjeux et la mise en place de solutions aux changements climatiques. Pour faciliter ces différentes interactions, le Gouvernement wallon a créé la "Plateforme wallonne pour le GIEC", placée sous la responsabilité du professeur Jean-Pascal van Ypersele (Université catholique de Louvain).

2017

2015